La circulation à Bali est très particulière. En tant qu’européen fraichement arrivé, la conduite est une sorte de combat dansune circulation où la seul règle à respecter est le feu rouge. Pour avoir déjà posé la question à un balinais, il est censé exister des règles de conduite. Ce concept reste assez flou lorsque vous vous confrontez à la route. Cependant, vous jouissez d’une vraie liberté puisque rien n’est obligatoire. C’est une sorte de main invisible qui s’applique sur la circulation et en fait un endroit dangereux mais qui fonctionne.
Par ailleurs, le choix du mode transport se fait aisément. La voiture n’est pas très pratique car bloquée par les autres. Il y a donc un monopole du scooter sur l’ile. Et dans ce monopole, le monopole de la marque Honda. Et dans le monopole de Honda, le succès local du modèle Vario. Il est donc un moyen de transport très usité et qui vous permet de prendre avantage de la route. Rapide, simple et pas cher, il se décline sous toutes les formes et s’adapte à tous. Il est fréquent de les voir avec un porte planche de surf accrochée sur le côté. De même,il est plus rare de croiser des vélos. Cependant, ces derniers vous évitent de payer l’essence et autres contraintes comme la police. Il est aimé des touristes pour sa simplicité et la sécurité qui l’accompagne.
A choisir, je prends le scooter pour sa rapidité. En effet, beaucoup de choses sont à découvrir sur Bali et le scooter est le moyen de transport le plus rapide. Il est également parfaitement adapté à la circulation indonésienne connue pour ses carrefours et autres gangs (très petites routes entre les maisons). C’est le moyen idéal, certes plus dangereux que le vélo, mais beaucoup plus approprié. Seulement attention au très connu Bali Kiss. Le nombre de scooter étant élevé dans les parkings, il vous arrivera surement de coller votre jambe à un pot d’échappement encore chaud.